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union soviétique

  • Alexandre Douguine : « Le libéralisme occidental est peut-être encore pire que l'URSS »...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Alexandre Douguine à Breizh Info dans lequel il évoque son vécu et son analyse philosophique et politique de la fin de l’Union soviétique. Théoricien politique influent, Alexandre Douguine est la figure principale du mouvement eurasiste en Russie. Outre L'appel de l'Eurasie (Avatar, 2013), le texte d'une longue conversation entre lui et Alain de Benoist, plusieurs  de ses ouvrages ou recueils de ses textes sont déjà traduits en français comme La Quatrième théorie politique (Ars Magna, 2012), Pour une théorie du monde multipolaire (Ars Magna, 2013), Vladimir Poutine, le pour et le contre - Écrits eurasistes 2006-2016 (Ars Magna, 2017), Le Front de la Tradition (Ars Magna, 2017), Les mystères de l'Eurasie (Ars Magna, 2018) ou, dernièrement, Les racines de l'identité (Ars Magna, 2019).

     

                                   

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  • La véritable histoire de l'Orchestre rouge...

    Les éditions Nouveau Monde viennent de rééditer dans leur collection de poche la récente étude historique de Guillaume Bourgeois intitulée La véritable histoire de l'Orchestre rouge. Se livrant à un sain travail de révision de l'histoire, l'auteur abat la statue de Leopold Trepper, mort en 1982 à Jérusalem, que l'intéressé s'était lui-même construit avec l'aide de Gilles Perrault. Guillaume Bourgeois est maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Poitiers et directeur du Centre de recherche historique des universités de Poitiers et Limoges.

     

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    " L'histoire de l’Orchestre rouge est la plus célèbre des affaires d’espionnage de la Seconde Guerre mondiale. On ne compte pas les récits dominés par la figure de son chef Léopold Trepper, qui parvint à rassembler une masse d’informations sur la machine de guerre nazie et rendit possible la victoire russe à la bataille de Stalingrad.

    La vérité des faits est beaucoup moins séduisante. Les officiers du service de renseignement militaire soviétique (GRU) déployés en France et en Belgique n’ont guère été efficaces et leur grand chef s’est conduit en dilettante. Arrêté par le Sonderkommando Rote Kapelle, Trepper livra de lui-même les hommes et les femmes de son réseau. Il affirma plus tard avoir berné les Allemands (son célèbre « Grand Jeu »), mais c’est là pure invention. Embourbé dans sa collaboration, il leur permit de pénétrer le cœur du dispositif clandestin du PCF. Si près que le Sonderkommando faillit arrêter Jacques Duclos et décapiter la résistance communiste.

    Au-delà de sa relecture sans concession de quelques épisodes clés de la Seconde Guerre mondiale, l’auteur propose une réflexion sur la mémoire de cette épopée sanglante, qui ne laissa aucune place à ses véritables héros et glorifia l’imposteur. Il s’interroge sur la capacité de la société à se satisfaire d’une légende et à accepter naïvement le mensonge en tant que fragment d’histoire. "

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  • Le cauchemar d'une nation...

    Les éditions Les Bouquins de Synthèse nationale viennent de rééditer en deux volumes, dans une version intégrale, le livre de David Irving intitulé Insurrection - Budapest 1956, le cauchemar d'une nation. David Irving est un historien anglais spécialiste de la deuxième guerre mondiale, dont plusieurs ouvrages ont été traduits en français chez de grands éditeurs comme La destruction de Dresde (Robert Laffont, 1964) ou une biographie de Göring (Albin Michel, 1991).

     

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    " Il y a 60 ans, à Budapest, le peuple se soulevait contre l'oppression communiste. C'était la première fissure du Système qui s'était instauré à Yalta et qui devait durer pour l'éternité. 45 ans plus tard ce Système s'écroulera, emportant avec lui l'Union soviétique et le Pacte de Varsovie. Il s'imposera alors un "Nouvel Ordre mondial" dominé par la haute-finance apatride, qui, à son tour, commence aujourd'hui à avoir du plomb dans l'aile.

    David Irving relate dans ce livre cette insurrection spontanée de Budapest en octobre 1956. La recherche de documents et de témoins le mena un peu partout en Europe et ailleurs entre 1975 et 1981, alors que la Hongrie se trouvait toujours sous la botte communiste. L'étude en résultant est celle de l'autopsie d'une révolution avortée, vue tant du côté des combattants de rue que de celui des salles de réunion feutrées des puissants. C'est un drame prenant avec prés de dix millions de figurants.

    Pour ne pas s'être plié au "prêt à penser" dans les années 90, David Irving fut mis à l'index par les nouveaux maîtres du monde. Il fut écarté des média, calomnié et condamné. Son œuvre, non conformiste, devait tomber dans l'oubli. Mais Synthèse nationale, en accord avec lui, a décidé de la rééditer pour contribuer à la victoire de la Vérité... "

     

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  • De Gaulle et les Américains...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 82, janvier - février 2016).

    Le dossier central est consacré à De Gaulle et à ses rapports avec les Américains. On peut y lire, notamment,  des articles de Pierre-Yves Rougeyron ("1940-1945 : Le duel de Gaulle-Roosevelt"), de Hervé Giraud ("Giraud et les Américains"), de Nicolas Vimar ("La France devient une puissance nucléaire"), de Philippe Fraimbois ("1966. La France sort de l'OTAN"), de Gaël Moulec ("De l'Atlantique à l'Oural : De Gaulle et l'Union soviétique"), de Martin Benoist ("De Gaulle en Roumanie ou le temps des illusions") et de Lionel Rondouin ("De Gaulle et Jacques Rueff. Contre le dollar-roi").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, deux entretiens, l'un avec Bernard Lugan ("Comprendre le chaos libyen") et l'autre avec Thierry Buron ("La nouvelle Allemagne"), ainsi que des articles d'Emma Demeester ("Gambetta. La République et la patrie"), de Péroncel-Hugoz ("Anne de Kiev, reine capétienne"), d'Yves Morel ("1829-2015. Pourquoi le désastre grec ?"), de Rémy Porte ("1915-19-16 : Martyre et renaissance de l'armée serbe") et de Jean-François Gautier ("Les militaires et la musique"), ou encore les chroniques de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues....

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  • Vers l'autre flamme...

    Les éditions Entremonde viennent de rééditer Vers l'autre flamme, de Panaït Istrati, un classique de la dénonciation du communisme soviétique. Écrivain roumain de langue française, né en 1884, Panaït Istrati rompt en 1929 avec le parti communiste, dont il est un compagnon de route depuis plusieurs années, à l'occasion de la publication de cet ouvrage. Il se retire en Roumanie et meurt de la tuberculose en 1935.

     

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    " En 1927, compagnon de route du Parti communiste, Istrati visite Moscou et Kiev avec l'écrivain grec Nikos Kazantzakis, puis voyage à nouveau en Union soviétique en 1929. Durant ces séjours, il devine, derrière l'accueil réservé aux hôtes étrangers, la réalité de la dictature stalinienne, qui lui inspire l'écriture de Vers l'autre flamme, confession pour vaincus, dans lequel, sept ans avant le Retour d'URSS d'André Gide, il dénonce sans concession l'arbitraire du régime soviétique.
    Selon Louis Janover, « Istrati décrit l'exploitation impitoyable des travailleurs par une bureaucratie prête à tout pour défendre ses privilèges ». "

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  • Les génocides de Staline...

    Les éditions de l'Arche ont récemment publié Les génocides de Staline, un essai de l'historien Norman M. Naimark. Spécialiste de l'Union soviétique, Norman M. Naimark est professeur à l'université de Stanford aux Etats-Unis.

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    "Norman M. Naimark, spécialiste de l'ère soviétique à l'université de Stanford, démontre que les assassinats de masse ordonnés par Staline dans les années 1930 devraient être considérés comme des " génocides ". Les catégories sociales et nationales, constituant les ennemis supposés de l'URSS, varièrent avec le temps ; les raisons avancées pour justifier ces attaques contre des groupes de citoyens soviétiques (ou d'étrangers vivant en Union soviétique) furent tout aussi changeantes. Cependant, Staline et ses lieutenants liaient ces attaques génocidaires au dogme du marxisme-léninisme stalinien et utilisèrent toujours les mêmes outils policiers, judiciaires et extrajudiciaires pour les mener à bien. Le Parti ainsi que les institutions de l'Etat furent impliqués, cependant que Staline mettait en oeuvre les impressionnants instruments de contrôle créés par la révolution bolchevique pour châtier ses opposants réels ou imaginaires. En conséquence du régime stalinien, des millions d'innocents furent déplacés, affamés ou fusillés."

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